Add parallel Print Page Options

Tu les as plantés, ils ont pris racine,
Ils croissent, ils portent du fruit;
Tu es près de leur bouche,
Mais loin de leur cœur.
Et toi, Eternel, tu me connais,
Tu me vois, tu sondes mon cœur qui est avec toi.
Enlève-les comme des brebis qu’on doit égorger,
Et prépare-les pour le jour du carnage!
Jusqu’à quand le pays sera-t-il dans le deuil,
Et l’herbe de tous les champs sera-t-elle desséchée?
A cause de la méchanceté des habitants,
Les bêtes et les oiseaux périssent.
Car ils disent: Il ne verra pas notre fin.

Read full chapter